Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 16:39

Phéromone avait dans son grenier un livre d'estampes japonaise. Inutile de dire qu'ouvrir une page au hasard et se laisser inspirer par ces dessins est devenu un vrai plaisir...
Par chlorophylle
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 10:21

Phéromone m'a rendu un service. Je lui avais promis de le remercier comme il se doit, lui laissant le choix du moyen. J'ai été surprise et satisfaite de ce qu'il me proposa lundi matin, alors que j'étais prête à partir travailler. Il me demanda de lui faire une pipe avec un glaçon. Et j'eus toute la journée pour que l'idée fasse son chemin....

Innocemment, je ne lui en reparlai pas lorsque nous nous retrouvâmes le soir. On fit l'amour une fois encore comme si de rien n'était.

Et ce n'est que le soir au moment de se coucher que je pris les choses en main. Une fois sûre que mes caresses aient fait leur effet et que l'excitation de Phéromone l'empêcherait de s'endormir bientôt, je suis allée chercher deux glaçons que j'ai fais tinter depuis la cuisine dans un petit bol. Je souris encore en imaginant les frissons qu'il a dû éprouver à ce bruit, attendant la suite...

J'ai pris un glaçon dans ma main pour la refroidir et je me suis saisie de sa verge dure et chaude. Effet immédiat. Phéromone allait apprécier la suite et se soumit immédiatement à mes caresses.

J'ai sucé le glaçon pour refroidir mes lèvres et ma langue cette fois avant de le prendre entier dans ma bouche. Que c'était bon de sentir frémir le sexe de mon amant sous l'alternance du froid et du chaud! Je me suis aussi amusée à faire fondre doucement ce petit morceau de glace pour le faire goutter sur son gland. Je récupérais chacune des gouttes avec ma langue.

Avec le deuxième glaçon, j'ai été un peu plus aventureuse, guidée par un Phéromone au maximum de son érection. Je me suis amusée à titiller ses tétons, à parcourir l'ensemble de son sexe avec mes mains où se cachait un glaçon qui fondait bien vite sous la chaleur de nos corps.

Moi aussi j'étais très excitée. Je me suis agenouillée au dessus de lui, je l'ai embrassé profondément tout en m'enfonçant délicatement sur sa bite chaude et mouillée. Comme il me restait un tout petit bout de glace, j'ai caressé nos deux sexe unis avec..

Comme si la fonte totale des glaçons avait agi en signal marquant la fin de sa soumission, Phéromone s'est alors retourné pour me prendre profondément. Il redevenait le maître du rythme de sa pénétration. Ce soir là encore notre jouissance a été très forte.

Par chlorophylle
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Jeudi 9 octobre 4 09 /10 /Oct 16:42

Alors que j'écris cet article, je me trémousse doucement sur ma chaise et je frémis à chacune des vibrations que je ressens au plus profond de mon intimité... La cause? deux boules de geïshas offertes par Phéromone il y a peu et dont je ne pourrais plus me passer....

J'en avais envie depuis longtemps mais je n'avais jamais osé en acheter. Phéromone l'a fait pour moi, pour mon plaisir et pour pimenter nos jeux amoureux. Sa dernière idée: me faire pratiquer quelques exercices de gym en les portant. Il voudrait aussi me les mettre un jour avant que je parte travailler et me prendre dès mon retour.... Je sais déjà quelle envie je suis prête à réaliser....

Mardi matin, nous nous sommes offert le luxe d'une grasse matinée. L'occasion encore de jouir ensemble bien sûr mais Phéromone ayant mis du temps à émerger de son sommeil, j'avais pris de l'avance sur les préliminaires. Eveillée par les caresses que je lui prodiguais, j'ai inséré délicatement mes petites boules adorées sans même qu'il ne s'en rende compte. Nous avons discuté en nous caressant, je remuais beaucoup, excitée par sa présence et son odeur, par le sujet de nos conversations et par ces vibrations qu'ils ne soupçonnait pas...

Quel plaisir ensuite de le sentir me pénétrer....

Par chlorophylle
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Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 14:30
Cet été j'avais reçu cette ancienne photo de Phéromone.


Il me demandait dans son message ce que j'aurais pu faire avec cette longue écharpe....

 Mon amour, j'ai eu le temps d'y réfléchir depuis et ce ne sont pas les idées qui me manquent.... Par une fois déjà je me suis retrouvée les mains liées à soumise à tes désirs.  Dans de longues conversations tu m'as raconté ton envie de subir mes caresses..... Il va bientôt être temps d'y venir. Un jour dans ma valise tu trouveras ma longue écharpe en soie écrue. Pas un mot après cette découverte, tu seras tout à moi, disposé à recevoir de doux supplices....

Par chlorophylle
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Vendredi 3 octobre 5 03 /10 /Oct 09:34

Parfois par la force des choses, nous nous trouvons séparés pour de longs moments. Rien de mieux dans ces moments là qu'une romance épistolaire par le biais d'internet. Voilà une histoire reçue de Phéromone au mois de Juillet...

En fait, je voulais te faire une belle surprise, et ça ne s'est pas
passé comme prévu.
Je viens en effet de trouver enfin le moyen de venir te rejoindre sur
ton lieu de vacances, en un temps record: une poudre toute nouvelle
trouvée sur internet, qui se dilue dans l'eau, se boit, et désintègre
la personne pour la réintégrer sur le lieu de son choix. Bref! Le
produit idéal, celui qu'il nous fallait. Je te cache la découverte, et
ingurgite donc la mixture à l'heure de la sieste...Bien mal m'en a
pris. 5 minutes plus tard, me voilà dans la salle de bain de chez tes
parents. Jusque là, tout va bien. Mais une demi-rotation, me fait me
retrouver face à un miroir, et j'étouffe un cri du mieux que je peux
quand je prends conscience de l'image que je renvoie: un peu comme si
on m'avait déguisé en singe.
 Une erreur de prononciation lors de la réintégration me dis-je.
 Un visage simiesque donc, poilu, avec un
chapeau sur la tête, une tunique de costume traditionnel, mais
 mal assortie à mes longs bras de gorille qui se terminent par des mains
 démesurément grandes.

 Horrifié, je ressors la boite de poudre et relis
la notice d'emploi avec ses effets indésirables. J'apprends alors que
des symptômes de psychopathie peuvent apparaitre. Je pense sérieusement
 à retourner vite fait d'où je viens avant qu'il ne soit trop tard, mais
 il semble que ce soit déjà trop tard. Le temps qui tourne à l'orage,
achève de me rendre fou. Une pulsion incontrolable me pousse à te faire
 payer cette allure ridicule dans laquelle je me suis mis pour venir te
retrouver. Mon odorat de singe me facilite la tâche pour situer la
chambre dans laquelle tu es.

En deux temps trois mouvements, et dans un
 silence extrème, je parviens à me cacher au pied de ton lit. La
position dans laquelle tu t'es mise et ce que tu fais, font exploser ma
 colère, comme si l'érection que cette scène me procure m'était
insupportable. Tu te rends compte de ma présence et là, je prends
conscience que tu ne me reconnais pas, vois ton regard paniqué, et j'ai
 ju ste le temps d'attraper un oreiller, et de te le plaquer sur la tête,
pour étouffer ton cri. "N'ai pas peur! Chut! C'est moi Bruto!...
Bru...to!...Bru...tt...to!". Voilà qu'en plus, je n'arrive plus à dire
mon nom. J'entends tes gémissements, et voit tes fesses qui gigotent
dans tous les sens, pour tenter de te dégager. Je ne peux m'empêcher de

  les claquer à plusieurs reprises, et je m'entends te dire: " Allez
reprends ce que tu faisais, petite vicieuse!" J'ai dû taper
suffisamment fort pour être convaincant, car je vois ta main retourner
vers ton entrejambe. Je te reclaque les fesses en t'ordonnant de
continuer, et de ne surtout pas tenter de demander de l'aide. Ceci
fait, je retire l'oreiller de ta tête, vient me caler à califourchon
sur ta nuque, et contemple ta masturbation maintenant forcée. Je bave
d'appétit pour ton joli cul qui a repris maintenant des mouvements de
plaisir, et ma salive glisse maintenant généreusement dans ta raie des
fesses. Je n'ai donc plus qu'à bien l'appliquer à l'entrée de ton anus,

pour le lubrifier, et y planter mon doigt. Tu pousses alors un petit
cri, et tente à nouveau de te dégager. De mes pieds agiles de singe,
je te bloque les poignets, tandis que de ma main libre, j'attrape ta
culotte qui gisait au pied de ton lit, et te la fourre dans la bouche.
L'envie de te pénétrer me devient insurmontable. Je te retourne
brutalement, t'écarte les jambes, et m'introduis sans ménagement. Je
commence aussitôt un va-et-vient frénétique. Mes couilles tapent
bruyamment contre ton cul, et je vois tes petits seins balloter dans
tous les sens. Je vois ton regard, perdu entre peur et plaisir. Je suis

comme fou. Je sors de ton sexe, y replonge d'un coup, renouvelle
l'exercice plusieurs fois avant de t'imposer un retournement sur le
ventre, te remettre une claque sur les fesses, et t'ordonner de te
mettre à quatre pattes. Un soupçon de lucidité fait remonter à ma
mémoire que je dois te prendre plus doucement dans cette position, pour

ne pas te faire mal. J'entame donc un mouvement langoureux, mais la vue

de ton petit trou me donne envie d'y remettre les doigts, et les
contractions que ça te procure, me font reperdre le peu de contrôle,
que je semblais retrouver. Je t'attrape par les cheveux, et tire ta
tête en arrière pour te dire à l'oreille ce que je te réserve
maintenant, et l'endroit où je compte répandre ma semence. J'approche
ma bouche de ton visage, et au moment où je veux t'annoncer la
couleur...PFFUITTT!...Je me désintègre, et me retrouve dans mon lit
baignant dans mon propre sperme
.

Par chlorophylle
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