Chlorophylle et Phéromone
Parfois par la force des choses, nous nous trouvons séparés pour de longs moments. Rien de mieux dans ces moments là qu'une romance épistolaire par le biais d'internet. Voilà une histoire reçue
de Phéromone au mois de Juillet...
En fait, je voulais te faire une belle surprise, et ça ne s'est pas
passé comme prévu.
Je viens en effet de trouver enfin le moyen de venir te rejoindre sur
ton lieu de vacances, en un temps record: une poudre toute nouvelle
trouvée sur internet, qui se dilue dans l'eau, se boit, et désintègre
la personne pour la réintégrer sur le lieu de son choix. Bref! Le
produit idéal, celui qu'il nous fallait. Je te cache la découverte, et
ingurgite donc la mixture à l'heure de la sieste...Bien mal m'en a
pris. 5 minutes plus tard, me voilà dans la salle de bain de chez tes
parents. Jusque là, tout va bien. Mais une demi-rotation, me fait me
retrouver face à un miroir, et j'étouffe un cri du mieux que je peux
quand je prends conscience de l'image que je renvoie: un peu comme si
on m'avait déguisé en singe.
Une erreur de prononciation lors de la réintégration me dis-je.
Un visage simiesque donc, poilu, avec un
chapeau sur la tête, une tunique de costume traditionnel, mais
mal assortie à mes longs bras de gorille qui se terminent par des mains
démesurément grandes.
Horrifié, je ressors la boite de poudre et relis
la notice d'emploi avec ses effets indésirables. J'apprends alors que
des symptômes de psychopathie peuvent apparaitre. Je pense sérieusement
à retourner vite fait d'où je viens avant qu'il ne soit trop tard, mais
il semble que ce soit déjà trop tard. Le temps qui tourne à l'orage,
achève de me rendre fou. Une pulsion incontrolable me pousse à te faire
payer cette allure ridicule dans laquelle je me suis mis pour venir te
retrouver. Mon odorat de singe me facilite la tâche pour situer la
chambre dans laquelle tu es.
En deux temps trois mouvements, et dans un
silence extrème, je parviens à me cacher au pied de ton lit. La
position dans laquelle tu t'es mise et ce que tu fais, font exploser ma
colère, comme si l'érection que cette scène me procure m'était
insupportable. Tu te rends compte de ma présence et là, je prends
conscience que tu ne me reconnais pas, vois ton regard paniqué, et j'ai
ju ste le temps d'attraper un oreiller, et de te le plaquer sur la tête,
pour étouffer ton cri. "N'ai pas peur! Chut! C'est moi Bruto!...
Bru...to!...Bru...tt...to!". Voilà qu'en plus, je n'arrive plus à dire
mon nom. J'entends tes gémissements, et voit tes fesses qui gigotent
dans tous les sens, pour tenter de te dégager. Je ne peux m'empêcher de
les claquer à plusieurs reprises, et je m'entends te dire: " Allez
reprends ce que tu faisais, petite vicieuse!" J'ai dû taper
suffisamment fort pour être convaincant, car je vois ta main retourner
vers ton entrejambe. Je te reclaque les fesses en t'ordonnant de
continuer, et de ne surtout pas tenter de demander de l'aide. Ceci
fait, je retire l'oreiller de ta tête, vient me caler à califourchon
sur ta nuque, et contemple ta masturbation maintenant forcée. Je bave
d'appétit pour ton joli cul qui a repris maintenant des mouvements de
plaisir, et ma salive glisse maintenant généreusement dans ta raie des
fesses. Je n'ai donc plus qu'à bien l'appliquer à l'entrée de ton anus,
pour le lubrifier, et y planter mon doigt. Tu pousses alors un petit
cri, et tente à nouveau de te dégager. De mes pieds agiles de singe,
je te bloque les poignets, tandis que de ma main libre, j'attrape ta
culotte qui gisait au pied de ton lit, et te la fourre dans la bouche.
L'envie de te pénétrer me devient insurmontable. Je te retourne
brutalement, t'écarte les jambes, et m'introduis sans ménagement. Je
commence aussitôt un va-et-vient frénétique. Mes couilles tapent
bruyamment contre ton cul, et je vois tes petits seins balloter dans
tous les sens. Je vois ton regard, perdu entre peur et plaisir. Je suis
comme fou. Je sors de ton sexe, y replonge d'un coup, renouvelle
l'exercice plusieurs fois avant de t'imposer un retournement sur le
ventre, te remettre une claque sur les fesses, et t'ordonner de te
mettre à quatre pattes. Un soupçon de lucidité fait remonter à ma
mémoire que je dois te prendre plus doucement dans cette position, pour
ne pas te faire mal. J'entame donc un mouvement langoureux, mais la vue
de ton petit trou me donne envie d'y remettre les doigts, et les
contractions que ça te procure, me font reperdre le peu de contrôle,
que je semblais retrouver. Je t'attrape par les cheveux, et tire ta
tête en arrière pour te dire à l'oreille ce que je te réserve
maintenant, et l'endroit où je compte répandre ma semence. J'approche
ma bouche de ton visage, et au moment où je veux t'annoncer la
couleur...PFFUITTT!...Je me désintègre, et me retrouve dans mon lit
baignant dans mon propre sperme.